Très chers lecteurs;
Je m’enjaille dans ma souffrance, car j’ai transformé mes
problèmes en opportunités et j’aimerais partager mon expérience avec vous dans
cet article.
Après l'obtention de mon baccalauréat, ils étaient de réfléchir à ma vie professionnelle, notamment le choix de ma formation académique. Mes parents, se basant sur les passions de mon enfance à savoir : la comptabilité, l'informatique et la médecine, n'ont pas hésité une seconde avant de m'imposer de choisir parmi ces trois domaines. En effet, mes
paroles étaient irréversibles face à l’attitude de mes parents qui était très
franche avec moi : « Tu es libre de faire ce que tu veux» dans mon intégrité réservé je me suis dit de surmonter ce que j'avais commencé à subir, car je ne me voyais pas faire une carrière dans ces différents secteurs.
Une fois, je me suis évadé de la maison à la recherche de la confiance en soi pour ma vie académique, je suis arrivé au Centre Culturel Français pour un suivie d’orientation, car je n’avais pas la paix; Je me suis vu développer une nouvelle passion pour l'art et un envie d'y faire carrière, l'art s'était attaché à moi et vice versa, c'est dans l'art que je me sens libre et épanoui. A cet instant, je n’avais pas commencé à souffrir de ce que j’allais vivre et ce que la vie me réservait., avant que l'école ne commence, j’avais travaillé artistiquement sur ma personne et au travers de tout cela, j’ai enfanté mon projet au nom de Co-Motive. Alors, comme les parents l'avaient décidé, j'ai été inscrit à l'Ecole Africaine de Développement (EAD) en informatique de gestion (IG) où j'ai commencé à apprendre la programmation "Je n'aimais pas ce que je faisais et tout se passait mal pour moi, car cela étouffait mes sens et essences artistique". Avançons avec cette rage, j'accumulais des échecs tellement que je ne pouvais pas faire de la magie pour satisfaire mes parents, avec des résultats affreux, je n'arrivais pas à remonter la pente.
Tout ce que je voulais c'était que mes parents comprennent que je n'était pas fait pour l'informatique bien que je résolvais les pannes électro-ménagers, que j'aimais le téléphone … Au bout de 4 mois, je n'en pouvait plus de supporter cette souffrance, j'ai donc décidé de parler à mon père : «Papa je ne m’en sors pas avec ce que je fais ». Suite à cela, j'ai passé une année à la maison car mon père avait décidé ainsi, il m’a dit : Vu que tu n’es pas conscient de ton avenir, reste à la maison pendant une année puis tu vas réfléchir ce qu’il faut réellement faire. Cela ne m’a pas arrangé mentalement car j’ai vécu la galère, la dépression parce que c’était très injuste d’être à la maison pour une seul parole alors que je n’étais même pas malade.
Heureusement, jai surmonté cette dépression à l’aide du Seigneur, j’ai travaillé avec lui sans potentiel, il m’a accompagné à ma réalisation au travers de ce que je fais aujourd’hui sur les réseaux, pendant que je priais pour que quelqu’un prenne en charge ma scolarité financièrement, Dieu ne me parlait que de sa présence et je vivais sa présence : là je n’avais plus peur, je n’étais plus inquiet… car tout ce qu’il faisait pour cet œuvre était magnifique, d’où ma confiance en lui est inébranlable.
L’année prochaine alors, qui est cette année je me suis questionné où irais je donc fréquenté ? je ne voulais plus repartir chez mon père afin qu’il prenne un nouvel engagement qui ne sera pas honorer, car mon soucis était de ne plus perdre une année car cela fait très mal, j’ai prié le Seigneur pour qu’il me révèle quel est le métier que je dois faire ? qui ne sera pas fruit du péché mais plutôt d'amour. Il m’a répondu au travers de la télé pendant que je regardais une émission des chroniqueuses et j’ai apprécié de voir mes potentiels dans ce métier, là je vous l’assure, le Seigneur avait brisé mes chaines et avait éclairé mes ténèbres. Malheureusement, lorsque j’ai présenté cela à ma mère, il y avait trop de refus à cause de faux raisonnements et j’étais confus, je me sentais comme quelqu’un qui se faisait marcher dessus, alors la décision était que j’aille à la faculté des sciences appliqué précisément à l'Université DENIS SASSOU N'GUESSO épuis j’en ai grave souffert par ce que cela ne me rapprochait pas de l'art.
Pendant la période académique, je ne m’en sortais pas non plus,
et j’ai voulu me plaindre une fois de plus et nombreux m’ont dit : Ne te plaint
plus, cela fera mauvaise impression ; Mais je vivais un calvaire : échec, des
mauvaises notes aux évaluations, tout ça
parce qu’il n’y avait aucune conviction et dans ma tête je me suis dit : j’attends le résultat des évaluations du premier semestre là si je suis admis, donc Dieu
a une vision pour moi en science, si j’échoue donc ce n’est pas le cas.
En effet, lorsque nous avons fait les évaluations j’ai validé le
semestre, au travers de cela j’ai trouvé que ce que je vivais était un
enseignement de folie, car j’ai noté une seule chose dans cette expérience
notamment, le rachat, ma réussite était rachetée et ma vision en journalisme.
Le Seigneur écoutant toutefois mes plaintes m’a montré dans une vision, comment
mon chemin était tracé évidement je ne veux pas finir vraiment en tant que
chimiste mais en tant que journaliste, et le Seigneur m’a montré le lien entre
le journalisme et les sciences qui est un domaine appelé : journalisme
scientifique. Par-là, je me suis senti gâté, soulagé car j’ai vu beaucoup
d’opportunité, en peu de mots la vision est « Après ma licence en chimie, je
vais apprendre le journalisme et œuvré carrément dans le sciences » je vous
assure que je suis maintenant bien, voici ce qui a changé en moi : Jai
maintenant l’amour de l’école, de ce que j’apprends, je souffre avec joie…
j’ai des challenges incroyables à relever et j’avoue que Dieu n’est pas un Dieu
d’hasard, il savait où est-ce que j’allais me retrouver.
Enfin, je réalise que cet article est très puissant cela
nécessite que vous puissiez me laissez en commentaire vos points fort, et ce
qui a changé en vous, retenez pour ma part « Dieu n’est pas un Dieu d’hasard ».
A bientôt !!!
👍
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