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Le bégaiement en milieu scolaire

 


Je m’appelle COLONNA Abed Arsim, j’aimerais vous partager l’histoire de ma vie face au bégaiement à l'école.

Selon le programme de chaque année, j’allais à l’école comme tout enfant et je ne pensais qu’à la réussite au travers du parcours scolaire suite à l'évaluation annuelle ; mais tout ne se passais pas comme prévu car en pleine année scolaire j’étais persécuté par les collègue depuis le cycle primaire, par caractère j’étais identifié comme personne douce et rempli d’amour d’où je ne manifestais que la naïveté autour de mes amis, après avoir identifié cela répétitivement, ils avaient pour but de m’irriter afin de me battre mais ça ne marchait car j’étais l’ami des enseignants et à cause de tout cela mes collègues avaient de la haine contre moi pensant que je vais dénoncer leurs erreur à l’enseignant… évidement car je suis contre la pagaille.

Mon combat face aux bégaiements commençait au début de la rentrée, nous savons que la prise de contact nécessite de se mettre en valeur en partir de l’élocution précisément au niveau de la présentation personnel et c’est à ce moment que dès que je prends la parole en public pour la première que je pleure face aux moqueries car personne ne me connait pour la première fois qui va de même pour dire également que parfois personne ne connait pas c’est quoi le bégaiement ??? Ces instants se sont présenté à moi toutes les fois que je rencontre de nouveaux collègues, au fur et à mesure de partager mon quotidien à l’école, nous nous sommes habituées et en devenant ami les moqueries cessent, les moqueries revenaient au niveau de la poésie orale en public, souvent j’ai eu des enseignant qui m’ont donné une note par pitié car c’était mal interprété chez les collègues. Seul, les professeurs ne se moquaient pas de moi, ils ont été un appui envers moi au travers de leur éloges suites à mes résultats, certains disaient aux moqueurs : « Regardez ! Abed est bègue mais il est très intelligent, vous tout ce que vous ne saviez que faire c’est se moquer de lui » malgré cela, j’étais triste car le bégaiement à leur yeux n’a pas de prix mais le bègue à de la valeur à cause de son caractère et ce qu’il produit, au primaire j’étais toujours premier de la salle c’est-à-dire le majorant de la salle ; à cause de ce que je produis, lorsque certains parents venaient inscrire leurs enfants on m’utilisait pour lire un paragraphe devant les parents afin de pouvoir montré le résultat de la formation malgré mon handicap.

En effet, toujours brillant, je changeais de cycle, suis passé du primaire au collège ; là au début de la rentré les enseignants avaient du mal à travailler avec moi vu qu’il ne me connaissait pas, dans le programme pédagogique du collège la communication m’a influencé et j’ai payé le prix pour ça, en gagnant une amitié avec les enseignants en me découvrant ils reconnaissent ma valeur et le reste de l’année est merveilleuse. C’est à cause de mes exploits sur les évaluations trimestrielles que les collègues tenaient à ce que je l’es aide à comprendre certains cours n’ont compris à l’école, alors après l’école je recevais chacun de mes collègues en difficultés à la maison pour leur faire cours et ça marchait.

Plus encore, au travers de ces expériences que j’ai présenté mon examen en classe de quatrième pour obtenir mon brevet d’études du premier cycle, lorsque j’étais allé en classe de troisième j’étais le benjamin de la salle, d’où avec de nouvelle personnes la moquerie était présente mais je ne pouvais se rebeller car j’étais le benjamin à la longue j’étais chouchouté par mes grands qui sont aujourd’hui des personnes qui me respectent ave une grande humilité et intégrité.

Après cela, j’arrive au lycée là certain était majeur sauf moi qui était mineur, il y avait moins de moquerie lorsque j’étais dans une école privé en classe de seconde, lorsque je suis arrive en classe de première dans une école  publique là-bas j’avais peur de prendre la parole car nous étions si nombreux, à un moment vu que je ne connaissais pas tous les collègues j’étais contrait d’influencer en me faisant connaitre, et les professeurs étaient tous fier de moi ce que j’avais adopté en mois c’était de faire habitué les collègues à mon handicap, à savoir vivre avec moi et sauver l’honneur de la classe en répondant aux questions, à la fin de mon lycée j’ai recueilli plein de félicitations et j’ai vu à quel point moi qui me cachait, les autres m’ont rendu populaires par des éloges.

Enfin, jusqu’à l’université j’ai porté mon influence avec ma mentalité du lycée et mon développement, parce que je fréquentais des grands dans l’univers, on ne faisait point attention à mon bégaiement.


C’est ma vie, mon histoire.

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